Attention, ils sont en anonyme, pour éviter le favoritisme ! x)
Heaume et armure était la protection du chevalier,
Armé de javelot et d'épée,
Resplendissant de charisme et d'autorité,
Rameutant les foules à sa cause oubliée,
Yvan était le meilleur à n'en pas douter.
Paroles non tenues,
Ou seulement perdues ?
Tatillon est le peuple à son sujet,
Tout ne fût-il que mensonges et méfaits ?
Éphémère sont les paroles du chevalier autrefois adulé,
Reste aujourd'hui seulement de vaines promesses inachevées.
William son descendant,
Ourdit un plan,
Reconquérir les foules en reprenant,
Les anciennes promesses, repentant
De l’inaction de son aïeul Yvan le grand.
Poème numéro 2.
Cela va faire 8 mois désormais que mon cœur s’est envolé.
Oui, celui-ci s’est en allé vers vous, ma reine, la plus pure des beautés.
Combien de fois ai-je dû affronter votre regard si envoutant
Sans ne jamais pouvoir dévoiler un seul de mes sentiments.
Aujourd’hui, j’ai décidé que ça en était trop et je veux me libérer
De ce poids qui pèse sur moi et je me décide à tout vous avouer.
Je vous aime. Je vous aime, vous, ma reine, vous qui êtes si parfaite.
Vous qui avez su faire chavirer mon esprit pour que vous appartienne mon être.
Vos yeux sont plus brillants que le saphir, mais en fait, tout chez vous est finement tracé
Pour donner ce résultat final qui correspond à la fille dont j’ai toujours rêvé.
Je pourrais passer des heures entières a vous écrire, vous décrire et vous admirer
Mais peu de mots existent pour tout vous dire et je ne peux que vous contempler.
Désormais, mon destin est entre vos mains, mon cœur vous appartient.
Je sais que vous saurez en faire bon usage et, vous seule, déciderez de la fin.
Je vous demande simplement de ne pas m’oublier et que vous gardiez dans votre esprit
Cette image d’un homme tellement amoureux que ce n’est que pour vous qu’il vit.
Poème numéro 3.
Ô douce mélancolie,
Toi qui enflammes mes nuits
Et fais battre mon cœur,
Sors moi de cette torpeur.
Cet espoir, fort mais vain
Qu'un jour sur moi
Le regard du roi se pose enfin,
Viendra-t-il braver les lois ?
Noble cœur mais pauvre fortune
Serait-il cause de mon infortune ?
J'ai foi en ma destinée
Qui fera nos chemins se croiser.
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